Un mouvement pour porter un projet …

Lors du Congrès du 8 novembre, j’ai été élu coprésident de l’Alliance-centriste avec Philippe Folliot, Sénateur du Tarn. L’objectif est de porter une vision politique dont nos territoires seront le socle …

Notre projet

Le monde, comme la France, vivent de profondes mutations qui entrainent des tensions sans précédents. Elles sont géopolitiques, économiques, sociales et environnementales. Nous ne pouvons plus les traiter dans l’urgence, au fil des crises. Nous avancerons durablement, forts de nos atouts, de notre histoire et de notre géographie dans le cadre d’une approche globale pour que la France préserve ses valeurs, sa prospérité et son rayonnement à travers le monde.

Notre plateforme Alliance-centriste a pour objectif de rassembler ceux qui aspirent au redressement et à la modernisation de la France.  Nos valeurs fondamentales participent de nos racines, de notre culture et de notre ambition. De grands défis s’ouvrent à nous. Or, l’absence de solutions structurantes dégrade jour après jour nos équilibres. La cohésion sociale, la restauration de notre compétitivité, la transition énergétique, la sécurité et l’organisation institutionnelle de la France sont nos priorités.

Nous ne réussirons que si nous posons la confiance et la responsabilité comme principes socles. Chaque Français, chaque territoire, chaque entreprise sont une chance pour la France. Ils sont la base d’un renouveau politique. Il est temps de reconstruire une société de confiance en remettant l’homme « au centre ».

Nous sommes attachés à la subsidiarité. Nous croyons que l’efficacité des politiques publiques, la qualité du débat démocratique et l’agilité dont nous avons besoin appellent à remettre chaque collectivité face à ses responsabilités. Nous habitons des territoires ; ils sont le ferment de notre épanouissement, de notre prospérité et du développement ; la Nation est garante de notre souveraineté, de notre sécurité, de notre défense et de la solidarité ; l’Europe est une échelle dont la taille critique permet d’engager une relation d’équilibre avec les grandes puissances sur de nouveaux enjeux. Pour autant, toutes ces organisations sont malades et encalminées dans une bureaucratie contreproductive. C’est le défi de la modernisation.

Des échéances politiques se profilent. Elles sont locales et nationales. Nous les traiterons dans un esprit de subsidiarité afin qu’à chaque niveau, le bien commun et l’intérêt des Français – et non ceux des partis – commandent nos engagements, nos propositions et nos décisions.

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