« 577 Pour la France » présente sa vision et sept lignes directrices pour transformer, réformer et espérer…

La France est proche de la « cote d’alerte », tant sur le fond que sur la forme.

Au-delà des élections présidentielles, l’année 2017 va être une année décisive pour l’avenir de notre pays qui atteint progressivement sa cote d’alerte : les déficits s’enkystent et le déclin de nos parts de marché sont le signe avant-coureur de notre disqualification dans la mondialisation ; les tensions géopolitiques accroissent notre vulnérabilité ; l’impasse européenne nous éloigne d’une sortie de crise. Malgré un contexte atypique, marqué par des taux d’intérêts quasi-nuls, une parité monétaire favorable et un prix des énergies bas, les indicateurs d’alerte sont de plus en plus nombreux ; ils doivent nous amener à prendre des décisions audacieuses et courageuses pour retourner la situation et ouvrir de réelles perspectives d’avenir.

Sur la forme, la situation est encore plus alarmante car elle n’augure pas d’une réelle prise de conscience des acteurs sur l’ampleur des risques : les partis traditionnels préemptent les élections ; le système des primaires est focalisé autour de leaders politiques usés et disqualifiés par leurs échecs répétés ; le débat se polarise sur les thèmes d’actualité ; la surenchère des promesses électoralistes bat son plein. Tous ces facteurs accroissent la distance entre les Français et la politique. Cette situation détériore la confiance dont la France a tant besoin pour retrouver un élan, renouer avec l’envie d’entreprendre et s’inscrire dans une réelle ambition.

« Notre projet s’inscrit dans cette idée simple que la France ne retrouvera une prospérité durable que si elle mise sur la diversité des talents, sur la richesse de ses territoires et sur la responsabilisation des Français autour d’une vision partagée et ambitieuse de notre place dans le monde.

Parce que nous refusons la résignation ; parce que cette approche appelle un profond renouveau du système politique, une refonte de la gouvernance et de l’aménagement du territoire, une mobilisation de nos atouts et un réveil de notre identité culturelle ; parce qu’elle passe par un engagement collectif dans des politiques de long terme autour des priorités économique, sociale et d’éducation ; pour toutes ces raisons, nous nous engageons

Il nous appartient, ensemble, de redonner à la France du souffle, de l’enthousiasme et de l’ambition »

Les candidats 577 Pour la France

Le projet 577 Pour la France présente les sept lignes directrices qui vont structurer sa démarche dans les semaines à venir :

1.     Faire – dès 2017 – de l’Assemblée nationale un espace de renouveau politique en mobilisant les talents dont la France a besoin

L’analyse : Les présidentielles à venir nous conduisent vers une impasse. Le mythe de l’homme providentiel n’opère plus. Le renouveau se fera dans un grand élan collectif, initié et porté par les acteurs de la vie réelle, autour de ceux qui ont le courage de mettre leur liberté, leurs compétences et leur expérience au service de la France. C’est le pari des législatives pour rebâtir un socle politique représentatif de la France et des Français.

Les idées phares : présenter 577 candidats dans toute la France et élaborer ensemble un contrat de législature sur quatre orientations prioritaires (l’organisation institutionnelle, la compétitivité, la solidarité et l’éducation).

« C’est aux Français de reprendre en main leur destin et d’élaborer enfin un projet courageux et audacieux »

2.     Oser une véritable réforme de l’organisation des territoires et de la France pour restaurer nos avantages compétitifs, diminuer les frais de structure qui pèsent sur l’économie et retrouver de la confiance et de l’efficacité

L’analyse : Avec un ratio de 57% de dépenses publiques dans son PIB, un millefeuille territorial totalement sclérosant et un centralisme de plus en plus outrancier, la France cumule le double handicap d’une faible efficacité de ses politiques publiques et d’un abandon progressif de ses territoires et de leurs atouts. Réinvestir la France par ses territoires dans le cadre d’une organisation rénovée, lisible et moderne de sa gouvernance constitue une priorité pour retrouver des marges de manœuvre budgétaires, entrepreneuriales et sociales.

Les idées phares : Construire une nouvelle gouvernance autour de 400 villes moyennes et de huit métropoles ; transformer le Sénat en Assemblée des territoires ; développer une politique contractuelle entre l’Etat et les collectivités locales ; lancer un fonds d’investissement de 80 milliards d’EUR sur les infrastructures régionales et numériques financé par l’épargne ; embaucher sous contrat privé les nouveaux acteurs de la fonction publique.

« Un emprunt national et populaire permettra de partager avec les Français l’effort de redynamisation, de leur redonner confiance et de financer un programme d’infrastructures sans précédents, pour moderniser la France et réinvestir tous nos territoires (…) ce sera le meilleur des référendums »

3.     Accélérer la croissance et l’innovation pour enrayer le déclin de nos parts de marché et assurer un développement durable, ouvert sur le monde

L’analyse : La France a perdu 50% de ses parts de marché depuis 10 ans. Si, à l’instar d’autres pays d’Europe, elle avait maintenu ses positions, cela représenterait plus de 150 milliards de recettes supplémentaires. La France doit rapidement restaurer sa compétitivité pour éviter un grave décrochage de son économie et un accroissement du chômage structurel qui touche les Français. Cette redynamisation passe par une politique de relance dans les entreprises, de simplification administrative et de stabilité fiscale.

Les idées phares : rénover la fiscalité des entreprises en supprimant les impôts sur la production ; accélérer l’investissement et la prise de risque par une réforme des plus-values de cession ; transférer une partie des cotisations patronales vers une TVA sociale ; recréer des places financières dans chaque région pour drainer l’épargne vers les PME ; créer un salaire minimum régionalisé ; geler temporairement le paritarisme pour opérer de véritables réformes de l’organisation du travail et de l’indemnisation du chômage.

« Une politique de réindustrialisation passe par la mobilisation de l’épargne de proximité, par une rationalisation des contraintes fiscales et sociales, mais aussi par des investissements sur la connexion de nos territoires avec le monde via la modernisation des grands ports maritimes français et les infrastructures numériques »

4.     Sauver notre modèle social et restaurer les solidarités de proximité dans un principe de responsabilité

L’analyse : Le modèle social Français a fait ses preuves et il n’est pas question de le remettre en cause. Pour autant il souffre de deux grandes dérives interdépendantes qui accroissent chaque jour sa fragilité : celle des effets d’aubaine qui génèrent des abus et qui déresponsabilisent les Français ; celle de la détérioration progressive des solidarités quand les efforts demandés relèvent davantage de l’espace familial, des structures associatives ou de la sphère privée que des aides publiques.

Les idées phares : recentrer les politiques sociales sur des critères objectifs ; instaurer une prestation sociale universelle ; relancer la politique familiale en restaurant l’universalité des allocations familiales ; transférer une partie des politiques sociales vers le secteur associatif ou privé dès lors qu’ils sont plus efficients.

« L’Etat-providence n’a pas vocation à se substituer aux solidarités naturelles, familiales ou associatives au risque de détériorer le lien social  (…) l’Etat doit se focaliser sur les besoins réels des Français en difficulté, sur la dignité des personnes et sur le retour à l’emploi »

5.     Miser sur la formation et l’éducation des jeunes pour donner à la France toutes ses chances dans le nouveau monde qui se dessine

L’analyse : L’instruction, l’éducation et la formation sont trois piliers de nos politiques d’avenir. L’instruction se fait à l’école, l’éducation est d’abord l’affaire des familles et la formation se développe aussi avec les entreprises. Or, les orientations prises sont le plus souvent floues et le ratio coût/efficacité de nos politiques publiques est contestable si on regarde ses résultats : décrochage scolaire, démission des parents, inadaptation des formations aux besoins des entreprises, faiblesse de l’apprentissage et déclassement de nos grandes écoles et universités. Il est temps de reconfigurer nos efforts afin de garantir l’égalité des chances et accompagner la redynamisation de nos avantages compétitifs.

Les idées phares : la territorialisation des politiques d’éducation et le renforcement de l’indépendance des établissements scolaires et universitaires ; la création d’un service national obligatoire associé à un apprentissage utile pour le pays ; la réintroduction dans les enseignements des matières culturelles et créatives ; la bascule progressive d’une partie des enseignements en langues étrangères jusqu’à 30% du temps scolaire à l’horizon 2025 ; l’introduction d’une trajectoire d’apprentissage des technologies et des réseaux de l’école primaire jusqu’au collège ; la création d’un « contrat parental d’éducation » qui conditionnera une partie du versement des aides sociales et familiales pour responsabiliser les parents dans leurs missions d’éducation..

« L’école doit faire le double effort, de s’ancrer davantage dans les réalités économiques et culturelles de nos territoires et d’apprendre aux nouvelles générations les langages du XXIème siècle et les enjeux du nouveau monde »

6.     Impulser une ambition européenne à partir de ses principes fondateurs de paix et de prospérité

L’analyse : Les crises politiques des pays d’Europe peuvent nous conduire à la dislocation de l’Union européenne si nous ne retrouvons pas une ambition collective autour des principes fondamentaux de l’Europe. Le faible impact des politiques de relance de la BCE et la montée des populismes – aggravée par l’évolution de l’immigration – doivent nous alerter. Nous avons plus que jamais besoin d’une Europe forte pour gérer les risques géopolitiques et de sécurité mais aussi pour stimuler une croissance durable.

Les idées phares : Opérer une première étape de « décentralisation européenne » pour s’extraire du centralisme bruxellois et de la prévalence de son hyper-technocratie, renforcer les coopérations inter-régionales, lancer un plan de développement des transports inter-métropolitains et impliquer les élus des territoires dans les politiques européennes ; créer une « Conférence européenne de sécurité et de défense » entre les pays volontaires, dotée de moyens d’intervention mutualisés dans le cadre d’un pacte de coopération dans la lutte contre le terrorisme.

« L’Europe décentralisée doit permettre de renouer avec la confiance, de créer une nouvelle relation entre les citoyens et l’Europe et aussi d’accompagner le développement de nos territoires (…) Une Europe de la sécurité et de la défense doit émerger entre les pays fondateurs pour éradiquer le terrorisme »

7.     Reconfigurer les partis politiques et réformer le statut des élus pour redonner de l’énergie à la démocratie

L’analyse : Le système politique fonctionne en vase clos. Il prive la France des compétences dont elle a besoin et éloigne toujours davantage les Français des responsabilités politiques. Les conséquences sur l’action publique sont de plus en plus graves : une moindre efficacité des politiques publiques, des réformes peu audacieuses et une incapacité chronique à remettre en cause des schémas d’organisation surannées qui plombent le budget de l’Etat. Il est urgent de remplacer les professionnels de la politique par des citoyens engagés.

Les idées phares : une diminution du nombre d’élus (cf. la réforme de l’organisation des territoires et de la France) ; un renouvellement des acteurs politiques par : un accès plus facile aux mandats politiques, la création d’un statut de l’élu, l’instauration de nouvelles règles de non cumul des mandats dans le temps et un déplacement du système de financement public de la vie politique vers les candidats plutôt que vers les partis afin de leur permettre de se regrouper et de configurer de nouveaux pôles de rassemblement autour d’idées nouvelles.

« Le financement public des partis politiques a installé les professionnels de la politique dans des communautés d’intérêt de plus en plus déconnectées des citoyens et du monde (…) Pour renouveler la politique, il faut déplacer le financement public des partis vers les candidats et introduire le non cumul des mandats dans le temps »

D’ici la fin de l’année les lignes directrices proposées par « 577 pour la France » seront détaillées et intégrées dans une plateforme de programmation sur cinq années. L’idée de cette programmation – appelée CONTRAT DE LEGISLATURE – est de sortir du mythe des 100 jours et de développer un plan d’action pluriannuel en veillant à ce que les leviers économiques permettent de financer les efforts et d’assurer la réalisation des réformes dans les meilleures conditions.

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Imprudent, mal ficelé, clientéliste…les qualificatifs inquiétants sur la pertinence du budget 2017

Les qualificatifs employés par le président de la Banque centrale au sujet des budgets européens, comme ceux qui ressortent de l’avis du Haut Conseil aux finances publiques sur le budget de la France, doivent nous alerter sur la sincérité et l’équilibre du budget qui nous est présenté ce matin.

Ces critiques sont corroborées par trois chiffres clés :

  •  1,5% de croissance…budget imprudent ! Cette hypothèse s’avère optimiste, voire très imprudente, car le contexte international [augmentation de la facture énergétique, panne européenne ou tensions géopolitiques], les aléas de l’économie française [contre-performance touristique, difficultés de nos exportations ou problèmes récurrents de nombreux secteurs industriels ou agricoles], ne permettent pas d’envisager sérieusement cette trajectoire de croissance.

 « Le contexte économique n’autorise pas cet excès d’optimisme, et quand bien même le Gouvernement y croirait, il sera plus raisonnable de sous-évaluer les recettes et de surévaluer les dépenses plutôt que de faire l’inverse » rappelle le Député, membre de la Commission des Finances.

 

  •  2,7% de déficit…budget mal ficelé ! Dès lors que les recettes sont optimistes et les dépenses sont minorées, il est possible de faire ce type d’annonce. Mais trop d’incertitudes pèsent sur l’évolution des dépenses publiques pour prétendre s’inscrire dans une maîtrise de notre déficit nominal. Les comptes de l’assurance chômage et de l’assurance maladie, les difficultés pour l’Etat à maîtriser son budget dans un contexte instable, mais aussi le risque qui pèse sur les taux d’intérêts appellent de véritables arbitrages budgétaires. C’est ce que vient de rappeler le Président de la Banque Centrale Européenne, à l’adresse des pays aux économies tendues, en leur demandant de « mieux ficeler » les budgets [mieux arbitrer leurs dépenses] pour respecter les trajectoires de stabilité tout en libérant la croissance…

 « La France prend un double risque – de crédibilité et financier – en s’exposant aux sanctions européennes et en affichant un budget très discutable dans ses grands équilibres » regrette Jean-Christophe Fromantin.

 

  •  7 milliards de baisse d’impôts…clientéliste ! C’est un point de passage obligé dans une année électorale. On fait les petits cadeaux de dernières minutes aux ménages et aux entreprises pour tenter de sortir par le haut. Les ménages bénéficieront de 2 milliards de baisse d’impôts réparties entre un effort sur l’impôt sur le revenu et l’emploi à domicile. Les entreprises bénéficieront du solde du dispositif inscrit dans le pacte de responsabilité, soit environ 5 milliards. Avec à la clé une amorce timide de baisse de l’IS puisqu’il faudra attendre … 2020 pour se rapprocher des niveaux européens.

« Ces petits cadeaux de fin de mandat sont le reflet d’une fin de cycle politique et économique (…) les décisions sont erratiques, elles traduisent cruellement l’absence de vision, de perspectives et d’ambition » souligne le Député des Hauts-de-Seine.

CDG Express : un projet indispensable pour le succès de la candidature de la France à l’Exposition universelle de 2025

Dans la perspective d’une Exposition universelle en France en 2025, l’efficacité des mobilités – et en particulier celle entre l’aéroport CDG et le centre de Paris – sont un élément clé de la réussite de notre candidature.

Le modèle économique, tel qu’il est proposé par la société de projet, composé principalement du Groupe ADP et de SNCF Réseau, permet de mettre en œuvre un projet sans financement public basé sur la billetterie. La recette additionnelle envisagée pour sécuriser le modèle – sous forme d’une taxe de 1 euro sur les billets d’avions – n’aura pas de conséquences significatives sur l’attractivité de l’offre de transports aériens.

« Si l’idée de taxes nouvelles est discutable quand il s’agit de financer des dépenses de fonctionnements, des dérives budgétaires ou certains équipements publics, elle se justifie pleinement quand il est question d’investissements d’avenir directement liés à l’attractivité de notre pays (…) L’absence de liaison directe, à la fois sécurisée et rapide entre un aéroport, qui est le 6ème aéroport du monde, et le centre de la capitale n’est plus envisageable. Les conséquences sur l’activité économique vont s’amplifier au fur et à mesure que l’on retarde ce projet (…) A l’heure où les pays rivalisent chaque jour d’initiatives pour faire de leurs métropoles des portes d’entrée accueillantes, il est temps d’accélérer le projet de CDG Express » déclare le Député des Hauts-de-Seine et président d’EXPOFRANCE 2025.

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Interventions en Commission des finances

Ce matin je suis intervenu en Commission des finances à l’occasion de l’audition de Philippe RICHERT, Président de l’Association des Régions de France, afin de l’interroger sur le financement de l’aménagement du territoire et de l’économie des régions

Puis, je suis intervenu lors du débat sur la mise en place du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu à l’occasion de l’audition du MEDEF et de la CGPME

REPLAY #LaMatinaleInfo de i télé interview de JC Fromantin sur EXPOFRANCE 2025

Jean-Christophe Fromantin était l’invité de la matinale d’iTELE jeudi 15 septembre. Le Maire de Neuilly sur Seine et Président d’EXPOFRANCE 2025 est longuement revenu sur la nécessité pour la France d’accueillir l’exposition universelle de 2025 et comment cette dernière serait bénéfique pour notre pays, qui a besoin de se rassembler, de se réconcilier avec le monde et de construire son avenir.


Jean-Christophe Fromantin, président d… par ITELE

LE PARISIEN 92 – Expo universelle : « C’est un grand moment pour la France »

Dans @Le_Parisien du 15 septembre 2016

« Ca valait le coup d’être patient. La candidature de la France pour accueillir l’Exposition universelle de 2025 est désormais officielle. Le président de la République a annoncé ce mercredi en conseil des ministres le prochain dépôt du dossier de candidature auprès du Bureau International des Expositions (BIE). Six ans après son lancement par Jean-Christophe Fromantin, député maire (DVD) de Neuilly-sur-Seine, cette annonce valide enfin le projet ExpoFrance 2025, soutenu par vingt-six grandes entreprises mécènes qui le financent et les quelque 110 000 personnes qui ont rejoint son comité de soutien.
« Je suis très content, bien sûr, réagit Jean-Christophe Fromantin, qui préside ExpoFrance 2025. On y va ! C’est un grand moment pour la France car les Expositions universelles permettent à un pays d’engager une véritable dynamique d’innovation, de développement et de créativité en lien avec le monde. »

Des retombées évaluées à 23 milliards d’euros
Une satisfaction d’autant plus grande que le projet de candidature avait été freiné ces derniers mois par la maire (PS) de Paris Anne Hidalgo, opposée notamment à ce que le privé ait seul la main sur le projet. La candidature sera désormais portée par un Groupement d’intérêt public (GIP), qui devra être créé très prochainement, « où ExpoFrance détient une minorité de blocage avec 40 % des voix, l’Etat a 30 %, la ville de Paris, la Métropole et la région 10 % chacun, détaille Jean-Christophe Fromantin. Cela permet à l’État de prendre toute sa place et à nous, ExpoFrance, de garder la maîtrise du projet en gardant la dynamique. »

p>Tout s’est joué pendant l’été et, selon le maire de Neuilly, la mobilisation de ses partenaires auraient fait pencher la balance, apportant la preuve de la viabilité du projet, évalué à 1,5 Md€ pour 23,2 milliards de retombées économiques et environ 160 000 emplois. Les partenaires entreprises participeront au financement, comme l’Etat et les collectivités, mais le GIP devra lancer un emprunt garanti par l’Etat.
La prochaine étape du projet sera le dépôt, « dans les prochaines semaines », par le Président de la République, d’une lettre de notification auprès du BIE, organisation internationale constituée de 169 États, qui choisira en 2018 l’organisateur de l’Exposition universelle de 2025.
leparisien.fr

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EXPOFRANCE 2025 et le Gouvernement avancent vers la candidature officielle de la France à l’Exposition universelle de 2025

[COMMUNIQUE DE PRESSE]

Le 8 septembre 2016 à l’Hôtel de Matignon : Jean-Christophe FROMANTIN, initiateur du projet et Président d’EXPOFRANCE 2025 et Pascal LAMY, délégué interministériel auprès du Premier ministre, présentent à Manuel VALLS, une nouvelle organisation pour préparer la candidature officielle de la France à l’Exposition universelle de 2025.

 

Cinq ans après avoir lancé l’idée d’une grande Exposition universelle en France, Jean-Christophe FROMANTIN et Pascal LAMY proposent la création d’un Groupement d’Intérêt public (GIP) qui réunira EXPOFRANCE 2025, l‘Etat ainsi que la Région Ile de France, la Ville de Paris et la Métropole du Grand Paris.

 

« Cette étape d’engagement du Gouvernement, aux côtés d’EXPOFRANCE 2025 et des entreprises partenaires, est décisive pour adresser aux 170 Etats membres du Bureau International des Expositions un signal fort de mobilisation de la puissance publique et d’ambition pour cette candidature de la France » précise Jean-Christophe FROMANTIN et d’ajouter « Je me réjouis que nous soyons rassemblés au sein d’une structure qui préserve la dynamique entrepreneuriale de ce projet pour porter ensemble cette grande ambition dont l’impact est estimé à plus de 23 milliards d’EUR (étude DELOITTE_2015) »

En terme d’organisation, les droits de vote et la représentation au sein du GIP seront répartis à raison de 40% pour EXPOFRANCE 2025 et de 30% pour l’Etat. La ville de Paris, la Métropole du Grand Paris et la Région Ile de France détiendront chacune 10% des droits de vote.

Un binôme sera à la tête du GIP composé de Pascal LAMY et de Jean-Christophe FROMANTIN ; compte-tenu du processus inter-gouvernemental qui régit l’organisation des Expositions Universelles, l’Etat assumera la Présidence et EXPOFRANCE 2025 la 1ère Vice-présidence.

Les trois collectivités seront également présentent au Bureau du GIP.

« Il appartient maintenant au Président de la République de notifier la candidature officielle de la France auprès des instances internationales » déclare le Président d’EXPOFRANCE 2025.

Débat dans l’émission « 19h Ruth Elkrief  » sur BFM TV

Jean-Luc Barré, écrivain, historien, proche de Jérôme Cahuzac et auteur de « Dissimulations » (Ed. Fayard), Patrick Maisonneuve, avocat de Bygmalion, auteur de « Justice et Politique : le couple infernal » (Ed. Plon), Bernard Sananès, président de l’institut Elabe, et Jean-Christophe Fromantin, député-maire DVD de Neuilly, auteur de « 2017, Et si c’était vous ? » (Ed. Michel Lafon), étaient les invités de Ruth Elkrief. Ils sont revenus sur les démêlés judiciaires qui enflamment ces derniers jours la sphère politique. Alors que le procès de Jérôme Cahuzac s’est ouvert lundi au tribunal correctionnel de Paris, le parquet financier a demandé le renvoi en correctionnelle de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l’affaire Bygmalion. À quelques semaines des élections, ces affaires vont-elles influencer le vote des Français ?

La crise du lait ou la spirale des déclassements …

Des éleveurs abandonnés, des industriels tétanisés, des territoires en difficulté et des Français sur la réserve etc. La crise du secteur laitier qui a mis face à face Lactalis et la FNSEA est un révélateur de l’impasse économique et des contradictions dans lesquelles la France s’enfonce. Elle marque à la fois l’absence d’anticipation de l’Etat, son absence de politique économique et ses carences en termes d’aménagement du territoire.

Dans le cas présent, mais aussi en général, un principe central devrait pourtant inspirer nos politiques économiques : la nécessité d’entrainer nos filières [agricoles et industrielles] vers plus de valeur ajoutée ; c’est à cette condition que nous pourrons préserver notre prospérité et l’équilibre de notre développement. Or cette crise révèle l’inverse :

– les mesures de protection assurées par les quotas laitiers ont isolé les producteurs des réalités du marché

– le niveau indécent des prélèvements obligatoires et de la fiscalité ont mis en difficulté les producteurs et les industriels : les producteurs ont servis de variable d’ajustement aux impératifs de compétitivité des industriels

– les industriels étant coincés entre les évolutions du marché mondial – embargo russe, réduction des importations chinoises et concurrence internationale – et la pression de la grande distribution, elle-même soumise au poids des charges …

Cette crise révèle en chaine les conséquences d’une politique économique de plus en plus décalée par rapport aux exigences de la mondialisation.

Si nous ne réagissons pas, toutes les filières de production subiront les mêmes évolutions. Les producteurs sont écrasés par les charges fiscales et sociales, à cause d’une incapacité récurrente des politiques à réformer la France, et soumis à la pression des consommateurs qui demandent des prix de plus en plus bas pour compenser les baisses de leur pouvoir d’achat dues également au poids de la dépense publique…

Cette spirale est celle qui conduit la France vers un triple déclassement :

– celui de son économie avec la dégradation de nos parts de marché

– celui de sa population entrainant la perte de confiance des Français qui fait exploser l’épargne de précaution, pénalisant de facto l’investissement

– celui de ses territoires dont les atouts ne méritent pas de les transformer en zone d’économie low cost comme le montre la paupérisation du secteur rural

A suivre !

Les primaires vont accroitre la défiance vis à vis des politiques

[Mon interview dans l’hebdomadaire Famille Chrétienne le 30 août 2016]

Pourquoi ne croyez-vous pas au processus des primaires de la droite ?

Les primaires ont pour effet de dérégler le moteur de la présidentielle. Il continue à tourner sans produire de sens. Il ne faut pas s’étonner que le débat soit au ras du sol car on a perdu la hauteur nécessaire. L’objectif des primaires ne consiste pas en effet à faire gagner la France mais à assurer la prospérité d’un camp. Sur la forme, des écuries luttent les unes contre les autres en s’emparant des sujets les plus clivants et clientélistes qu’offre l’actualité, au détriment des sujets de fond totalement relégués. Sur leur principe même, les primaires sont contraires à l’esprit de la Ve République qui repose sur l’équilibre des pouvoirs. L’exécutif est censé prendre du recul tandis que le législatif s’enracine dans les territoires. Les primaires pervertissent nos institutions : le Président devient l’émanation d’un parti politique tandis que les législatives deviennent les conséquences des présidentielles … le système est vérouillé et le tour est joué.

C’est la même impasse à gauche ?

On dit que les primaires ont réussi à la gauche en 2012. Ce fut sans doute une réussite tactique mais peux t-on parler d’une réussite politique ? Le quinquennat qui a suivi n’a pas vraiment été porteur d’espérance ! Jamais on n’a vu un Président aussi bas dans l’opinion, jamais une majorité n’a été aussi fragmentée. Pourquoi ? Parce que l’adhésion que devait susciter la présidentielle n’a pas été au rendez-vous. Il y a eu 50% d’abstention, 25% des voix en faveur des partis populistes et 15% du corps électoral mobilisé pour le futur Président. Les primaires ne favorisent pas un rassemblement et privent la France d’un élan.

Que pensez-vous des principaux compétiteurs à droite ?

Les candidats sont tous piégés. Chacun travaille pour son propre camp qui escompte une victoire et donc des places de ministres ou de députés. Ils sont obligés de pratiquer la surenchère ; même François Fillon qui avait tenu pourtant à ne pas dévier de son programme est descendu avec les autres sur le ring. Où est la cohérence et la crédibilité quand les mêmes qui ont défendu la politique de Sarkozy pendant cinq ans, rivalisent aujourd’hui d’audace pour la critiquer ? Les Français sont las de ces jeux de rôle qui trahissent des ambitions personnelles et une absence d’ambitions pour la France.

Je crois que les ténors de la droite vont sortir très cabossés et très divisés des primaires. Au moment où il faut rétablir la confiance en politique, cette compétition va générer encore plus de défiance. Le vainqueur aura tellement pris de coups – il en aura tellement donné aussi – qu’il n’en sortira pas grandi.

Pourquoi les nouvelles générations ne font plus confiance aux politiques ?

Je suis intervenu en Pologne lors des JMJ auprès de jeunes de Lyon. La plupart étaient convaincus que les politiques étaient des gens « corrompus ». J’ai essayé de leur expliquer que les politiques n’étaient pas tous des hommes corrompus financièrement ! Mais pour eux la corruption est quelque chose de plus large. C’est la capacité de détourner les institutions à des fins personnelles pour en faire profiter leurs affidés.

Les chrétiens sont plus sensibles que les autres à ce détournement ?

Paradoxalement, le grand absent de la présidentielle c’est le centre ou plus exactement le courant politique issu de la démocratie chrétienne. Ce courant politique s’est construit sur la réconciliation, il veut remettre de la confiance, de l’initiative en repartant des talents de chacun, de la famille et de l’entreprise au sens large. C’est cette politique de la confiance en l’homme que nous devons réhabiliter en appellant les Français à mettre leurs talents au service de la France. C’est un devoir. Faute de cela, deux verticalités politiques s’affronteront encore une fois dans notre pays avec son lot de « professionnels » de la politique. A droite avec le culte de l’Etat autoritaire – à gauche avec le culte de l’Etat gestionnaire. Tout cela est totalement dépassé.

Retrouvez l’interview sur le site de Famille Chrétienne

La candidature EXPOFRANCE 2025 se précise

Un rapprochement est en cours entre EXPOFRANCE 2025 et l’Etat associant les collectivités de Paris, du Grand Paris et de l’Ile-de-France.

Au cours de l’été Jean-Christophe FROMANTIN, Président d’EXPOFRANCE 2025 et Pascal LAMY, Délégué interministériel à la candidature de la France, ont validé un projet d’organisation de la gouvernance pour la candidature à l’Exposition universelle de 2025.

La nouvelle organisation sera présentée au Premier ministre, Manuel VALLS lors d’une réunion prochaine à Matignon en présence de toutes les parties prenantes.

Une structure réunissant EXPOFRANCE 2025, l’Etat, mais également la ville de Paris, la Région Ile-de-France et la Métropole du Grand Paris, au sein d’un Groupement d’Intérêt public (GIP), devrait être créée dès la rentrée pour porter la candidature officielle.

Compte-tenu du processus inter-gouvernemental qui régit l’organisation des Expositions Universelles, l’Etat assumera la Présidence du GIP avec 30% des droits de vote ; EXPOFRANCE 2025 détiendra 40% des droits de vote et assurera la 1ère Vice-présidence de cette nouvelle structure. La ville de Paris, la Métropole du Grand Paris et la Région Ile-de-France détiendront chacune 10% des droits de vote et une Vice-présidence.

« Je me réjouis de cette perspective de rassemblement des partenaires et de l’engagement de l’Etat dans cette nouvelle structure » précise Jean-Christophe FROMANTIN, Président d’EXPOFRANCE 2025.

Et d’ajouter : « EXPOFRANCE 2025 lancera dans les prochaines semaines sa transformation en Fondation afin de fédérer les acteurs à l’origine de ce projet et de les associer à l’organisation et à la promotion de la candidature de la France. »

72 ème anniversaire de la libération

 

Hier soir à l’Hôtel de Ville, nous célébrions le 72ème anniversaire de la libération de Neuilly en présence du Préfet des Hauts-de-Seine Yann Jounot, du Maire Jean-Christophe Fromantin et de sa première adjointe et conseillère départementale Alexandra Fourcade.

 

 

L’IS à 28% n’aura aucun effet, ni sur la compétitivité, ni sur l’attractivité

L’impôt sur les sociétés à 28% n’aura aucun effet, ni sur la compétitivité, ni sur l’attractivité.

Le vrai sujet ce ne sont ni les « gestes », ni les « chocs », c’est la stabilité fiscale et le courage politique sur les dépenses publiques.

La création d’un nouveau taux d’impôt sur les sociétés à 28% n’aura pas d’impact, ni sur la compétitivité des entreprises, ni sur l’attractivité économique de la France.

« Avec la création d’un nouveau taux intermédiaire qui reste supérieur à la moyenne européenne le Gouvernement fait un tout petit geste dans la bonne direction mais qui reste très insuffisant au regard du handicap fiscal dont souffrent depuis des années les entreprises françaises (…) Nous gardons un train de retard qui pèse de plus en plus lourd sur notre économie et sur l’emploi » déclare Jean-Christophe Fromantin, Député des Hauts-de-Seine et l’un des rares entrepreneurs à siéger à l’Assemblée nationale.

Depuis des années la France est à la peine sur ses deux leviers économiques : la compétitivité et l’attractivité.

– Dans un contexte de concurrence globale la compétitivité de notre économie se mesure à l’aune de l’évolution des parts de marché. Or les derniers chiffres, en particulier ceux de notre balance commerciale (- 24 milliards d’euros au 1er semestre 2016), montrent à quel point nous avons du mal à participer à la compétition internationale.

« Si nous voulons avoir un effet significatif sur notre compétitivité nous ne pouvons pas nous contenter d’un geste sur l’IS (…) Nous devons agir simultanément sur les trois facteurs pénalisants qui minent notre économie : des charges fiscales et sociales trop élevées ; une innovation insuffisante (16ème rang mondial) ; un coût trop élevé des biens intermédiaires. »

– Cette annonce n’aura pas d’avantage d’impact sur l’attractivité économique de la France. Nous sommes passés en 30 ans de la 1ère à la 4ème place européenne en termes d’accueil des centres de décision. « Nous cumulons là aussi un fort handicap fiscal avec une image désastreuse en terme de rigidité du travail (…) Tous les pays d’Europe avancent sur l’optimisation du taux d’IS. Il est illusoire de penser que ce geste aura un quelconque effet sur notre attractivité » regrette le Député.

Une vraie réforme de l’IS consisterait à baisser le taux entre 20 et 25% et à le compenser en élargissant l’assiette par la suppression des nombreuses niches fiscales et en réduisant les aides aux entreprises souvent ponctuelles et inutiles.

« Arrêter de faire de la fiscalité des entreprises une variable d’ajustement du budget de l’Etat »

« Plus généralement c’est la stabilité fiscale que demandent les entreprises. C’est la raison pour laquelle le vrai sujet n’est pas tant de faire des « gestes » ou de proposer des « chocs » mais de travailler durablement à une baisse des dépenses publiques pour arrêter de faire de la fiscalité des entreprises une variable d’ajustement du budget de l’Etat… » conclut Jean-Christophe Fromantin qui proposera un plan de redynamisation dans le cadre de son initiative 577 pour la France.

Good Morning Business : interview dans la matinale de Stéphane Soumier

Jean-Christophe Fromantin était l’invité de la matinale de Stéphane Soumier sur BFM Business.

Les mauvais chiffres du commerce extérieur sont le reflet d’un manque d’ambition pour l’économie et pour l’emploi

L’annonce des chiffres de la balance commerciale en pleine torpeur estivale est l’une de ces informations qui passe presque inaperçue mais qui mériterait plus d’attention compte tenu de son impact à moyen et long terme. Les 24 milliards d’EUR de déficit au 1er semestre de cette année sont alarmants. Ils montrent une nouvelle fois que la France continue de décrocher dans l’économie mondiale

1) malgré une baisse sans précédents de la facture énergétique,

2) malgré un taux de change favorable,

3) malgré le CICE,

4) malgré le pacte de responsabilité.

Depuis plus de 10 ans, personne ne se préoccupe de cette lente érosion qui est le reflet d’une carence coupable de toute la classe politique vis-à-vis de nos perspectives économiques.

La croissance et l’emploi sont pourtant directement suspendus à nos performances à l’export car les effets de la demande intérieure font une large part aux importations et ne créent pas les conditions d’un développement durable de notre économie.

Si nous voulons redresser la France, nous devrons arrêter le bricolage et faire de notre compétitivité à l’international un enjeu majeur et prioritaire de la campagne de 2017.

Dès le mois d’octobre, avec 577 Pour La France, nous ferons une série de propositions innovantes pour relancer notre activité internationale, connecter nos territoires au monde, lancer une véritable politique d’innovation et donner enfin de l’oxygène aux entreprises françaises.

Passons de La Défense des années 60 à la « Grande Défense » des années à venir …

(COMMUNIQUE DE PRESSE)

Suite à la décision prise en Conseil des ministres de confier le quartier d’affaires de La Défense aux collectivités locales, dans le cadre d’une fusion entre l’Epadesa et DeFacto, le Député des Hauts-de-Seine (et plus particulièrement de la circonscription de La Défense) se réjouit de cette évolution mais espère qu’elle ouvrira une réelle perspective de développement territorial plus pertinente que celle menée jusqu’à présent.

 

« J’attends de ce projet qu’il s’inscrive dans une nouvelle ambition qui dépasse le strict cadre d’un nouveau protocole de gestion et d’optimisation des droits à construire (…) La Défense est aujourd’hui contrainte dans les limites du boulevard périphérique, elle vit comme un îlot déconnecté de son environnement économique, culturel et social. Ses limites urbanistiques sont aussi celles de sa prospérité. Car son développement ne se fera que si elle compose avec son environnement. Les entreprises ne veulent plus être isolées dans un quartier aseptisé dont l’architecture répond uniquement à des standards internationaux, elles cherchent à s’inscrire dans un écosystème plus vaste et plus singulier où se mêlent vie sociale et vie économique, où les créateurs d’entreprises ont leur place, où la porosité avec les communes alentours est réelle afin d’en faire un véritable quartier du Grand Paris plutôt qu’un ensemble de tours sans âme (…) Les choix d’urbanisme des années 60 à 80 ne correspondent plus à l’évolution des manières de vivre et de travailler aujourd’hui. Pour conserver sa modernité la Défense doit s’adapter et entrer de plain pied dans le XXIème siècle »

 

C’est la raison pour laquelle le maire de Neuilly évoque le concept d’une « Grande Défense » ouverte sur les communes limitrophes, connectée au monde, directement reliée à Paris par des circulations douces et riche de tous les potentiels de développement qu’offre un territoire plus vaste que celui de l’établissement public. Ce concept appelle une gouvernance élargie, au delà des seules communes concernées, sur le mode des Conseils de Développement créés pour développer les Grands Ports maritimes français. « C’est en rassemblant tous les acteurs concernés, collectivités et professionnels, autour d’un projet commun que nous porterons une réelle ambition » rappelle Jean-Christophe Fromantin .

 

« Je me réjouis également que ce projet coïncide avec l’annonce faite récemment de requalification de l’avenue Charles de Gaulle car le projet « Axe majeur » que nous avions lancé dès 2010 de concert avec La Défense et Paris va dans le sens de cette ambition de repositionner La Défense au cœur de l’axe historique qui prend ses racines aux Tuileries » rappelle le maire de Neuilly, qui ajoute « La ville de Neuilly prendra toute sa part dans ce projet pour faciliter le rapprochement de La Défense avec Paris et faire de cet axe un des plus emblématiques au monde »

Ce sont les jeunes qui remplaceront les leviers de la peur par ceux de l’espérance …

Je rentre de Cracovie. J’étais invité par le Diocèse de Lyon – quelques jours avant l’arrivée du Pape François aux JMJ – pour animer un cycle d’interventions auprès de jeunes chrétiens sur l’engagement politique. Ces rencontres et ces échanges m’ont touché. Cet enthousiasme de milliers de jeunes au cœur de la Pologne faisait formidablement écho à l’appel de Jean-Paul II qui en 1978, alors qu’il inaugurait son Pontificat sur le thème de l’espérance, disait à la foule présente à Rome « N’ayez pas peur ! ».

Quel contraste avec le pessimisme ambiant et le climat de résignation qui envahit progressivement nos sociétés.

Difficile pourtant aujourd’hui de ne pas avoir peur. Les multiples problèmes du monde, la violence de l’actualité et les crises qui pèsent sur l’avenir menacent de nous entrainer vers des voies sans issues : la résignation pour certains, la révolte pour d’autres ou le repli sur soi. Pourtant une génération nouvelle nous interpelle ; elle nous demande de ne pas céder à la désespérance ni au doute, car, au delà de toutes ces tensions, elle doit construire son propre avenir et elle veut le faire sur d’autres bases, celles de la réconciliation et de la prospérité. Cette génération a besoin de nous. Elle attend que nous leur fassions confiance. Si nous n’arrivons pas à construire l’avenir, ni à nous réconcilier, ni à créer les conditions d’un développement plus équitable alors pourquoi ne pas leur donner plus de responsabilités ? Plutôt que de verrouiller, de piétiner ou de s’arc-bouter sur les schémas du passé, pourquoi ne pas les écouter et les impliquer ?

Les études d’opinion nous rappellent régulièrement le jugement très sévère des jeunes vis à vis des « politiques » qu’ils qualifient de « corrompus ». Cette corruption, au delà des affaires financières, vise le détournement de l’action politique, quand elle prive une génération des atouts dont elle a besoin, quand elle ne leur donne pas leur chance, ou quand, par la dette abyssale des pays, par l’absence d’audace dans les réformes ou par la situation de rente dont bénéficient certains hommes politiques, elle bloque les évolutions nécessaires à la construction de leur avenir. Quel égoïsme serait le notre si nous ne mettons pas en place rapidement les conditions de cette transmission.

Dans nos échanges je leur ai demandé de ne surtout pas exclure la politique du spectre des engagements qu’ils seront amenés à prendre. En restant libre, sans rien attendre à titre personnel de la politique. Non pas pour faire « métier » de la politique mais dans un esprit de service à la mesure de leur disponibilité ou de leurs talents.

L’engagement des jeunes est fondamental pour nous tous, au delà de leur génération, car ce sont eux qui sont les mieux placés pour remplacer les leviers de la peur par ceux de l’espérance. « N’ayez pas peur … »

Exposition universelle 2025 : Projet, gouvernance, financement, stratégie … Nous sommes prêts !

Depuis 2011, EXPOFRANCE 2025 prépare la candidature de la France à l’Exposition universelle de 2025.

Le 6 novembre 2014 le Président de la République déclarait « Oui, la France va déposer sa candidature pour l’Exposition universelle de 2025 »

Aujourd’hui cette candidature rassemble très largement les collectivités locales, les entreprises, les parlementaires, les grandes écoles et universités et plus de 110.000 Français au sein du Comité de soutien pour que l’Exposition universelle de 2025 se tienne en France.

 

  • Conformément au vœu du Premier ministre, un projet de gouvernance collective a été conçu par Pascal LAMY, Délégué interministériel et Jean-Christophe FROMANTIN, président d’EXPOFRANCE 2025 pour rassembler au sein d’un GIP tous les acteurs publics et privés du projet.
  • Pour être fidèle au règlement du Bureau International des Expositions (BIE) et respecter le principe d’équité entre les pays, le projet a été configuré pour un site unique du Grand Paris – le VILLAGE GLOBAL – complété par des espaces thématiques au sein des métropoles régionales.
  • Le Groupe d’études parlementaire qui prolonge depuis quelques semaines la Mission d’information sur la candidature de la France, coprésidé par Jean-Christophe FROMANTIN et Bruno LE ROUX, témoigne du consensus politique autour de ce projet.
  • Le thème s’inspirera des valeurs d’hospitalité et de partage telles qu’elles ressortent des réflexions et des propositions de 1000 jeunes des grandes écoles et universités qui ont travaillé dans le cadre des travaux préparatoires pendant 18 mois.
  • Le financement de la candidature est assuré grâce au concours de 27 grandes entreprises françaises mécènes qui soutiennent et s’engagent dans ce grand projet aux côtés de l’Etat et des organisateurs.
  • L’étude réalisée par le cabinet DELOITTE sous la direction de l’économiste Christian de BOISSIEU validé avec les équipes de Bercy, met en exergue, sur la base de 45 millions de visiteurs, un impact de 23 milliards d’EUR, 160.000 emplois durables et 0,5 point de croissance pour le pays.
  • Dans la dernière étude exclusive réalisée par l’IFOP pour EXPOFRANCE 2025 auprès de 1007 Français représentatifs de la population, 86% d’entre eux se déclaraient favorables ou très favorables à la candidature de la France à l’Exposition universelle de 2025.
  • La tournée réalisée de janvier à juin 2016 dans 16 grandes villes de France a permis de montrer, au-delà de la région parisienne, l’engouement des Français pour ce grand projet et la mobilisation active des villes et des régions.
  • Un travail approfondi a été lancé en mai dernier avec le cabinet McKINSEY pour préparer la stratégie internationale de prospection et de promotion de la candidature française auprès des 170 pays membres du BIE.

 

La dynamique de ce projet appelle maintenant l’engagement officiel du Président de la République pour présenter la candidature auprès des instances internationales et donner à la France l’opportunité d’être à nouveau l’hôte d’une grande Exposition universelle.

Exposition universelle 2025 : Ne brisons pas cet élan collectif pour la France…

Les Expositions universelles ont toujours été de puissants leviers de développement et de formidables vecteurs d’enthousiasme. Elles ont marqué l’histoire de France. C’est la raison pour laquelle, depuis 2010, au départ seul, puis progressivement avec la mobilisation des entreprises, des étudiants, des parlementaires, des collectivités de toute la France, puis, fin 2014 avec l’engagement du chef de l’Etat, et maintenant avec plus de 110.000 Français dans le Comité de soutien, nous préparons avec autant de passion que de rigueur la candidature de la France à l’Exposition universelle de 2025.

C’est probablement aujourd’hui une des seules grandes entreprises collectives à partager. Elle n’est ni de droite, ni de gauche, ni publique, ni privée, elle n’est pas une affaire personnelle ni celle d’un groupe, d’une ville ou d’un syndicat, elle est la mobilisation de toute la France pour exprimer à la fois notre fierté, notre ambition et notre ouverture sur le monde. C’est un élan de créativité et d’innovation que nous avons le devoir d’amorcer pour les générations futures.

Dès le départ, cette candidature s’était fixée trois objectifs : être innovante, mobiliser toute la France, et trouver d’autres ressources que celles des contribuables. C’est sa triple originalité, c’est celle que nous devons sans cesse expliquer car elle bouleverse les conventions habituelles et refuse de céder à la facilité. Mais ce sont ces exigences qui forcent l’innovation.

Aujourd’hui cette candidature est prête. Depuis deux ans elle mobilise de très nombreuses compétences. Rien n’a été négligé. Qu’il s’agisse du thème, de la configuration ou du modèle économique, tous ces éléments ont d’abord été analysés ; ils ont été travaillés depuis des mois avec les meilleurs experts sur la base des réflexions des étudiants, de l’avis des partenaires et des recommandations du Rapport parlementaire adopté à l’unanimité. Ils nous ont permis de dessiner un véritable projet, très contemporain, et fidèle aux réglements auxquels sont soumis ces grands événements.

Enfin, l’arrivée à maturité de ce projet de candidature, à la veille de son officialisation, appelait une organisation de sa gouvernance. Aussi, depuis le 8 juin dernier, sur la proposition du Premier ministre de rassembler tous les acteurs publics et privés dans une nouvelle structure, nous y travaillons. Nous le faisons ensemble, avec le Délégué interministeriel nommé par le Gouvernement, dans un esprit positif et portés par le sens de l’intérêt général.

Aujourd’hui personne n’a le droit de briser un tel élan. Pas seulement parce qu’il générera plus de 23 milliards d’impact économique, mais surtout parce que nous avons besoin de cohésion, de réconciliation et d’innovation pour que notre pays, la France, forte de ses valeurs universelles, s’inscrive à nouveau dans une grande ambition.

Alors ensemble, mobilisons-nous, battons-nous, bougeons-nous pour que dans quelques jours le Président de la République annonce la candidature de la France à l’Exposition universelle de 2025.

Pour une approche plus réaliste des objectifs de logements sociaux  Jean-Christophe Fromantin propose la création d’un indice de faisabilité


Dans le cadre du texte « Egalité et Citoyenneté » débattu à l’Assemblée nationale cette semaine, Jean-Christophe Fromantin défendra plusieurs amendements relatifs au logement social : « Pour faciliter et optimiser la construction de logements sociaux, il est capital que les réalités territoriales soient mieux prises en compte » déclare le Député des Hauts-de-Seine.Parmi ces amendements, le Député propose la création d’un « Indice de potentiel foncier » qui permettra d’évaluer le taux de réalisation de logements sociaux en fonction de la réalité foncière et immobilière d’une commune. Cet indice de faisabilité sera défini en fonction d’une série de marqueurs dont le foncier disponible, les actifs mis à disposition par l’Etat, le taux de renouvellement du bâti, les opportunités de préemption d’immeubles, la valeur moyenne du foncier et la densité de logements.
Le niveau d’effort pourra alors être apprécié sur les flux de réalisation.

« Il n’est pas normal que toutes les communes soient soumises aux mêmes objectifs de réalisation alors que leur configuration et leur densité ne sont pas les mêmes et que l’Etat n’est pas en mesure de mobiliser les mêmes ressources d’une ville à l’autre (…) La création de cet indice permettra d’avoir une évaluation objective de la politique menée » rappelle Jean-Christophe Fromantin.

Le « Oui » à Notre Dame des Landes est une bonne nouvelle pour l’aménagement du territoire et pour notre connexion à la mondialisation

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Jean-Christophe Fromantin se réjouit du résultat positif du référendum sur l’aéroport Notre Dame des Landes.

Animateur en 2013 d’un travail approfondi sur l’aménagement du territoire et sur les enjeux pour la France, il avait conclu à la nécessité de positionner des infrastructures portuaires et aéroportuaires au plus près des huit métropoles-pivots qui structurent le territoire national.

« Il est indispensable pour un développement équitable de nos territoires de positionner chaque Français à moins d’1h30 d’une métropole connectée au monde (…) c’est un enjeu essentiel pour le développement et la compétitivité de nos territoires et pour tirer profit au maximum de la richesse de nos atouts » rappelle le Député des Hauts-de-Seine et promoteur du mouvement « 577 pour la France »

En 2025, avec plus de 4 milliards de consommateurs à travers le monde et compte-tenu de l’explosion des échanges internationaux et de la fragmentation des systèmes de production, il serait inconcevable que des territoires comme l’ouest de la France ne réunissent pas les meilleurs équipements pour tirer profit de ces évolutions. L’ambition affirmée récemment par le Conseil régional des Pays de la Loire de développer le Grand Port maritime de Nantes-Saint Nazaire va également dans ce sens.

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JC Fromantin invité du Club de la Presse d’Europe 1

Jean-Christophe Fromantin était hier l’invité du Club de la Presse animé par Nicolas Poincaré sur Europe 1. Il a répondu aux questions d’Olivier Duhamel, Serge July et Robert Namias. L’occasion de présenter son initiative #577PourLaFrance.

A partir de 17’50 :

Fromantin lance des candidats à l’assaut de l’Assemblée nationale

Fromantin lance des candidats à l’assaut de l’Assemblée nationale

Par Céline Revel-Dumas

LE SCAN POLITIQUE – Face à «la faillite du système politique», le député-maire de Neuilly-sur-Seine ambitionne de réunir des talents nouveaux pour les législatives.

«Renverser la table» à 577. C’est le projet de Jean-Christophe Fromantin pour donner un nouveau souffle à la France. Le «mouvement de renouveau» en vue des élections législatives 2017 ambitionne de réunir des «talents complémentaires et diversifiés au service de la France» dans chacune des 577 circonscriptions de France.

En février dernier, le député-maire de Neuilly-sur-Seine part d’un constat: celui «de la faillite d’un système politique qui à force de parler ne dit plus rien». Pour faire revivre la parole politique, le parlementaire de centre droit veut donc «faire pénétrer à l’Assemblée nationale des créativités nouvelles, avec des points de vue originaux». Des personnalités «qui vont bien psychiquement», ironise l’écrivain Alexandre Jardin, auteur d’une tribune publiée dans L’Express qui exhorte Jean-Christophe Fromantin, Emmanuel Macron ou encore Jean-Louis Borloo à «une véritable révolte citoyenne». «Il y a quelque chose d’incroyablement joyeux qui a lieu en ce moment», ajoute l’écrivain, enthousiaste face à l’énergie de quelques-uns des candidats des «577 pour la France» réunis mardi autour de Jean-Christophe Fromantin à l’Assemblée nationale.

«Nous citoyens, nous pouvons changer les choses», avance Xavier Denamur, chef d’entreprise depuis 26 ans. «C’est la première fois que je m’engage, témoigne Katia Paulin, 34 ans et candidate dans la 18ème circonscription de Paris, c’est un projet positif dans un climat anxiogène». D’autres regrettent une classe politique sclérosée: «En France, tout le monde est en mouvement, seul le corps politique n’évolue plus», explique François-Xavier Decré, architecte de 45 ans et candidat dans les Hauts-de-Seine.

«Casse toi de chez les morts!»

Pour relancer la France, le projet de Jean-Christophe Fromantin, qui a rompu il y a quelques mois avec l’UDI, s’articule autour de quatre grands thèmes: l’organisation de la France et de ses territoires, la «réussite» des entreprises, la «performance sociale» et la formation des jeunes. De grandes lignes à tracer autour de trois mots: «Confiance, audace et élan», martèle l’édile francilien qui veut dessiner un «réseau de porte-parole sur le territoire». Un réseau dans lequel chacun apporte au collectif ses compétences: «Il y a un enrichissement mutuel. Chacun dans son domaine d’expertise apporte aux autres», insiste Ghislain Lafont, 63 ans et ancien président du conseil de surveillance de Bayard Presse.

Les bonnes intentions sont là, l’énergie aussi. Reste à réunir les 577 candidats nécessaires à l’aboutissement du projet – ils ne sont actuellement que 40 -, et les financements nécessaires: «Les Français adhèrent», avance Jean-Christophe Fromantin, optimiste. «Nous avons ouvert des bureaux à Paris et investi dans une plateforme numérique», se réjouit-il en évoquant 577.fr, le site internet du mouvement sur lequel apparaît le profil de chaque candidat. Pour être recruté, un «talent» local doit recruter localement les parrainages de 100 électeurs de sa circonscription et réunir 4.000 euros pour financer sa campagne. «Il faut une alliance des citoyens en marche», lance avec verve Alexandre Jardin. «En marche». Un élément de langage étrangement proche du mouvement d’Emmanuel Macron. Je lui ai envoyé un signal», avoue Jean-Christophe Fromantin. «J’invite M. Macron à nous rejoindre», avance cordialement le député. En colère contre l’immobilisme de la classe politique, Alexandre Jardin s’est montré, lui, plus lapidaire: «Casse-toi de chez les morts!», a-t-il recommandé au ministre de l’Économie.

Législatives 2017. Jean-Christophe Fromantin recrute 577 candidats

Article de Michel Urvoy, éditorialiste pour le site internet de Ouest France et dans le quotidien

16.06.22_Ouest France

Ça y est, il a ses porte-parole dans les territoires, sa petite équipe à Paris, son site (577.fr) et ses quarante premiers candidats. Parce que les législatives sont « le véritable enjeu de 2017 ».

L’infatigable maire de Neuilly et promoteur de l’Expo universelle 2025, Jean-Christophe Fromantin, avance dans son projet de présenter 577 candidats aux législatives, un par circonscription.

Et, bonne nouvelle pour la start-up politique de cet électron libre (ex-UDI), il reçoit l’appui d’Alexandre Jardin, l’animateur du mouvement citoyen Bleu-blanc-zèbre (bleublanczebre.fr) et de la Primaire des Français (laprimairedesfrancais.fr) pour 2017. « Tous les mouvements cousins sont en train de se parler », se réjouit Jardin.

Ensemble, ils font le constat d’un système qui ne fonctionne plus : « Il faut lier la légitimité à l’action », explique Jardin. Autrement dit à la société civile. « Il n’est plus acceptable, ajoute Fromantin, que les postures politiciennes empêchent de distinguer le bien du mauvais. » « Le pays va aller à la révolte. » Ensemble ils forment l’espoir que « la France des territoires va réveiller le pays. »

Macron en fédérateur ?

Leur engagement repose sur trois leviers. La confiance, « en repartant de la proximité » ; l’audace « par opposition à l’esprit de carrière », et l’élan « pour combattre la résignation ». Et sur quatre axes d’action : une réforme des structures des Régions et de l’Etat, la performance des entreprises, la performance sociale et la formation des jeunes.

Un premier appel avait déclenché 500 candidatures spontanées. Pour éviter les velléités, des critères ont été mis en place. Pour se présenter, il faut bien sûr souscrire à ces grandes orientations, mais aussi bénéficier de 100 soutiens et être capable de garantir 4000 € de dons par candidat.

« À la fin de l’année, prédit Jean-Christophe Fromantin, il y aura 1 000 candidats et suppléants sur la photo, devant l’Assemblée nationale. Des gens légitimes par ce qu’ils font ! »

Ensemble, ils ont enfin l’idée qu’Emmanuel Macron pourrait être leur fédérateur. Jean-Christophe Fromantin invite clairement le ministre à rejoindre le mouvement. « Casse-toi de chez les morts », lui conseille même Alexandre Jardin !